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Corne dorsale Stock Photos and Images

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Atlas d'histologie normale : principaux tissus et organes . Trép. Et. Rabaud.Microphot. F. Monpii.lard. Grav. et linp. Prieur et DuboisPuteaux. Georges CARRÉ et C. NAUD, Éditeurs PLANCHE XXI Planche XXI MOELLE ÉPINIÈRE DE LHOMME : RÉGION DORSALE (Coupe transversale)Grossissement : i5 diamètres. Les cornes antérieures sont courtes et étroites, elles pré-sentent une éminence latérale triangulaire, caractéristiquede la région cervicale : la corne latérale (CL). Les cornes postérieures sont longues et minces. Le sillonantérieur répond à la formule « large et peu profond » ; lesillon postérieur, à Stock Photo
RM2AN1CW6–Atlas d'histologie normale : principaux tissus et organes . Trép. Et. Rabaud.Microphot. F. Monpii.lard. Grav. et linp. Prieur et DuboisPuteaux. Georges CARRÉ et C. NAUD, Éditeurs PLANCHE XXI Planche XXI MOELLE ÉPINIÈRE DE LHOMME : RÉGION DORSALE (Coupe transversale)Grossissement : i5 diamètres. Les cornes antérieures sont courtes et étroites, elles pré-sentent une éminence latérale triangulaire, caractéristiquede la région cervicale : la corne latérale (CL). Les cornes postérieures sont longues et minces. Le sillonantérieur répond à la formule « large et peu profond » ; lesillon postérieur, à
Atlas d'histologie normale : principaux tissus et organes . lv, Atlas dHistologie normale. Planche XX.. Trép. Et. Rabaud.Microphot. F. Monpii.lard. Grav. et linp. Prieur et DuboisPuteaux. Georges CARRÉ et C. NAUD, Éditeurs PLANCHE XXI Planche XXI MOELLE ÉPINIÈRE DE LHOMME : RÉGION DORSALE (Coupe transversale)Grossissement : i5 diamètres. Les cornes antérieures sont courtes et étroites, elles pré-sentent une éminence latérale triangulaire, caractéristiquede la région cervicale : la corne latérale (CL). Les cornes postérieures sont longues et minces. Le sillonantérieur répond à la formule « lar Stock Photo
RM2AN1DG3–Atlas d'histologie normale : principaux tissus et organes . lv, Atlas dHistologie normale. Planche XX.. Trép. Et. Rabaud.Microphot. F. Monpii.lard. Grav. et linp. Prieur et DuboisPuteaux. Georges CARRÉ et C. NAUD, Éditeurs PLANCHE XXI Planche XXI MOELLE ÉPINIÈRE DE LHOMME : RÉGION DORSALE (Coupe transversale)Grossissement : i5 diamètres. Les cornes antérieures sont courtes et étroites, elles pré-sentent une éminence latérale triangulaire, caractéristiquede la région cervicale : la corne latérale (CL). Les cornes postérieures sont longues et minces. Le sillonantérieur répond à la formule « lar
Traité d'anatomie humaine . rigine de ces racines. Dans la partie supérieure de la moelle cervicale etdans la moelle dorsale, où les cornes antérieures sont relativement étroites, lesdeux noyaux cellulaires antéro-interne et antéro-externe arrivent au contact lunde lautre et sont, à vrai dire, fusionnés en un noyau unique. Mais, au niveau desdeux renflements cervical et lombaire, là où la tête de la corne antérieure est volu-mineuse et étalée en travers, les deux noyaux précités sont nettement [distincts. c. Noyau postéro-externe. — Le noyau postéro-externe (fig. 316,3), encoreappelé noyau lat Stock Photo
RM2ANHF00–Traité d'anatomie humaine . rigine de ces racines. Dans la partie supérieure de la moelle cervicale etdans la moelle dorsale, où les cornes antérieures sont relativement étroites, lesdeux noyaux cellulaires antéro-interne et antéro-externe arrivent au contact lunde lautre et sont, à vrai dire, fusionnés en un noyau unique. Mais, au niveau desdeux renflements cervical et lombaire, là où la tête de la corne antérieure est volu-mineuse et étalée en travers, les deux noyaux précités sont nettement [distincts. c. Noyau postéro-externe. — Le noyau postéro-externe (fig. 316,3), encoreappelé noyau lat
Traité des maladies de la moelle épinière . ourdes cornes postérieures et de rares fibres dans les cordons antéro-latéraux. Lesracines antérieures sont en grande partie dégénérées. La méningite est intense,surtout en avant du sillon antérieur. Au-dessus de cette lésion, on peut suivreune cavité (fig. 26 et 27) occupant la corne postérieure jusquau niveau de lapartie inférieure de la 9^ racine dorsale ; au-dessous (fig. 23), il existe égalementdes cavités dans les cordons postérieurs, sur toute la hauteur de la 2» racinelombaire. (A. Thomas et G. Hauser, Cavités médullaires et mal de Pott. Revu Stock Photo
RM2AM4ENF–Traité des maladies de la moelle épinière . ourdes cornes postérieures et de rares fibres dans les cordons antéro-latéraux. Lesracines antérieures sont en grande partie dégénérées. La méningite est intense,surtout en avant du sillon antérieur. Au-dessus de cette lésion, on peut suivreune cavité (fig. 26 et 27) occupant la corne postérieure jusquau niveau de lapartie inférieure de la 9^ racine dorsale ; au-dessous (fig. 23), il existe égalementdes cavités dans les cordons postérieurs, sur toute la hauteur de la 2» racinelombaire. (A. Thomas et G. Hauser, Cavités médullaires et mal de Pott. Revu
Traité d'anatomie topographique avec applications a la chirurgie . sous-cutané, puisquil ny a pas degaine spéciale pour le.xlenseur. Plus rare quà la face palmaire, ce panarisnest souvent quun abcès furonculeux. Lextrémité des doigts est recouverte du côté de la face dorsale par longle.Longle est une production épidermique daspect corné, transparente, contenuedans un repli du derme. On se rendra un compte exact des rapports de longleavec le derme en les étudiant sur u.ne coupe antéro-postérieure du doigt. Arrivé à une certaine distance de lextrémité du doigt, le derme se réfléchitde bas en hau Stock Photo
RM2AKTT1Y–Traité d'anatomie topographique avec applications a la chirurgie . sous-cutané, puisquil ny a pas degaine spéciale pour le.xlenseur. Plus rare quà la face palmaire, ce panarisnest souvent quun abcès furonculeux. Lextrémité des doigts est recouverte du côté de la face dorsale par longle.Longle est une production épidermique daspect corné, transparente, contenuedans un repli du derme. On se rendra un compte exact des rapports de longleavec le derme en les étudiant sur u.ne coupe antéro-postérieure du doigt. Arrivé à une certaine distance de lextrémité du doigt, le derme se réfléchitde bas en hau
. Anatomie des centres nerveux. DU SYSTÈME NERVEUX. 145 lapparition est très précoce dans les racines antérieures de la moelle.On peut distinguer dans cette colonne de noyaux une partie médio- ventraie, la zone de la corne antérieure,et une partie latéro-dorsale, la zone de lacorne latérale. Danstoute la hauteur dela moelle dorso-lom-baire et dans la moi-tié inférieure de lamoelle cervicale, lesracines motrices quinaissent des zones dela corne antérieure etde la corne latéraleprésentent une émer-gence commune, sefaisant à lunion ducordon antérieur etdu cordon latéral, lelong dun sillon irré-gu Stock Photo
RM2CETAAH–. Anatomie des centres nerveux. DU SYSTÈME NERVEUX. 145 lapparition est très précoce dans les racines antérieures de la moelle.On peut distinguer dans cette colonne de noyaux une partie médio- ventraie, la zone de la corne antérieure,et une partie latéro-dorsale, la zone de lacorne latérale. Danstoute la hauteur dela moelle dorso-lom-baire et dans la moi-tié inférieure de lamoelle cervicale, lesracines motrices quinaissent des zones dela corne antérieure etde la corne latéraleprésentent une émer-gence commune, sefaisant à lunion ducordon antérieur etdu cordon latéral, lelong dun sillon irré-gu
. Annales de biologie lacustre. Natural history; Freshwater animals; Freshwater plants; Lakes. Fig. 9. — Nymphe de Johannsenomyia nitida (face dorsale). Fig. 10. — Corne prothoracique de la nymphe de Johannsenomyia nitida. (I) RIETH. Die Métamorphose der Culicoiden (Ceratopogoninen). Arch. fur Hydrobiol. u. Hydrogr., Supplem. Bd. II, Lief. 2, 1915, p. 435, fig. 86.. Please note that these images are extracted from scanned page images that may have been digitally enhanced for readability - coloration and appearance of these illustrations may not perfectly resemble the original work.. Station bi Stock Photo
RMRN3DGE–. Annales de biologie lacustre. Natural history; Freshwater animals; Freshwater plants; Lakes. Fig. 9. — Nymphe de Johannsenomyia nitida (face dorsale). Fig. 10. — Corne prothoracique de la nymphe de Johannsenomyia nitida. (I) RIETH. Die Métamorphose der Culicoiden (Ceratopogoninen). Arch. fur Hydrobiol. u. Hydrogr., Supplem. Bd. II, Lief. 2, 1915, p. 435, fig. 86.. Please note that these images are extracted from scanned page images that may have been digitally enhanced for readability - coloration and appearance of these illustrations may not perfectly resemble the original work.. Station bi
. Annales de biologie lacustre. Natural history; Freshwater animals; Freshwater plants; Lakes. — 1T9 — rosette. La face dorsale du thorax est pourvue de cinq paires d'appendices sétiformes, d'aspect divers : la première paire (fig. 5, a) est voisine de la corne prothoracique ; trois paires se trou- vent implantées de chaque côté de la ligne médiane : la paire. Please note that these images are extracted from scanned page images that may have been digitally enhanced for readability - coloration and appearance of these illustrations may not perfectly resemble the original work.. Station biologiq Stock Photo
RMRN3DJW–. Annales de biologie lacustre. Natural history; Freshwater animals; Freshwater plants; Lakes. — 1T9 — rosette. La face dorsale du thorax est pourvue de cinq paires d'appendices sétiformes, d'aspect divers : la première paire (fig. 5, a) est voisine de la corne prothoracique ; trois paires se trou- vent implantées de chaque côté de la ligne médiane : la paire. Please note that these images are extracted from scanned page images that may have been digitally enhanced for readability - coloration and appearance of these illustrations may not perfectly resemble the original work.. Station biologiq
. Bulletin of the Museum of Comparative Zoology at Harvard College. Zoology; Zoology. BOUVIER ET FISCHER: PLEUROTOMAIEES ACTUELS. 237 Le Plr.urotomaria Quoyana se trouve precisement au stade que nous vfinons de signaler. Troisieme stade (Fig. D). — Ce stade ne differe du precedent que par la condensation plus grande de tons les centres nerveux, et, dans bien des caSj par I'atrophie de la branchie droite des Pleurotomaires. Du ruban superieur de chaque corne des cordons, et probablement des par- ties voisiues de ces derniers, se separe une come dorsale exclusivement. Please note that these imag Stock Photo
RMRGFW83–. Bulletin of the Museum of Comparative Zoology at Harvard College. Zoology; Zoology. BOUVIER ET FISCHER: PLEUROTOMAIEES ACTUELS. 237 Le Plr.urotomaria Quoyana se trouve precisement au stade que nous vfinons de signaler. Troisieme stade (Fig. D). — Ce stade ne differe du precedent que par la condensation plus grande de tons les centres nerveux, et, dans bien des caSj par I'atrophie de la branchie droite des Pleurotomaires. Du ruban superieur de chaque corne des cordons, et probablement des par- ties voisiues de ces derniers, se separe une come dorsale exclusivement. Please note that these imag
. Bulletin de la Société géologique de France. Geology. Fig. I.â Kerunia cornuta. Reconstitution d'un individu complet (moulage n" i). Fig. 2. â Kerunia cornuta. Face dorsale d'un individu non retouché (corne et éperon intacts) de la collection de M. Mayer-Eymar (moulage n° 2). Sur la corne gauche une cassure indique l'existence d'une digitation secon- daire. La partie dorsale manque en grande partie par suite d'usure produite probablement par le mouvement des sables du désert, mais l'échantillon lui-même n'est pas roulé. â Cette figure et la précédente sont reproduites d'aprà Stock Photo
RMRGPAPN–. Bulletin de la Société géologique de France. Geology. Fig. I.â Kerunia cornuta. Reconstitution d'un individu complet (moulage n" i). Fig. 2. â Kerunia cornuta. Face dorsale d'un individu non retouché (corne et éperon intacts) de la collection de M. Mayer-Eymar (moulage n° 2). Sur la corne gauche une cassure indique l'existence d'une digitation secon- daire. La partie dorsale manque en grande partie par suite d'usure produite probablement par le mouvement des sables du désert, mais l'échantillon lui-même n'est pas roulé. â Cette figure et la précédente sont reproduites d'aprÃ
. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. SUR LA NEVRITE DE L ENFANCE 81 La corne postérieure est toujours très diminuée, et fournit quelques fibres radicuiaires. XII" dorsale. — En ce point, le champ de dégénérescence est rejeté vers la ligne médiane, il ne persiste plus dans cette partie qu'une très mince bande qui longe le septième médian et un petit triangle dans la partie postérieure et interne du cordon postérieur. Dans la zone radiculaire, il existe une faible diminution du nombre des tubes nerveux. La colonne de Glarke est manifestement al Stock Photo
RMRED142–. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. SUR LA NEVRITE DE L ENFANCE 81 La corne postérieure est toujours très diminuée, et fournit quelques fibres radicuiaires. XII" dorsale. — En ce point, le champ de dégénérescence est rejeté vers la ligne médiane, il ne persiste plus dans cette partie qu'une très mince bande qui longe le septième médian et un petit triangle dans la partie postérieure et interne du cordon postérieur. Dans la zone radiculaire, il existe une faible diminution du nombre des tubes nerveux. La colonne de Glarke est manifestement al
. Bulletin of the Museum of Comparative Zoology at Harvard College. Zoology; Zoology. Fig. C. — Systbme neryeus du Pleurotomaria Quoyana. Fig. D. — Systbme nerveux dialjneure des Trochide's. palleale ; des deux comes qui se trouvent, des lors, en avaut de chaque cordon, celle qui est situee du cot^ dorsal tend de plus en plus h graudir et a s'isoler, tandis que la corne ventralo se reduit progressivement, tant par le passage de sa partie palleale dans la corue dorsale, que par la condensation en arriere du ruban p^dieux qui la compose. En nieme temps s'attcnuo le sillon qui separe les deux rub Stock Photo
RMRGFW7F–. Bulletin of the Museum of Comparative Zoology at Harvard College. Zoology; Zoology. Fig. C. — Systbme neryeus du Pleurotomaria Quoyana. Fig. D. — Systbme nerveux dialjneure des Trochide's. palleale ; des deux comes qui se trouvent, des lors, en avaut de chaque cordon, celle qui est situee du cot^ dorsal tend de plus en plus h graudir et a s'isoler, tandis que la corne ventralo se reduit progressivement, tant par le passage de sa partie palleale dans la corue dorsale, que par la condensation en arriere du ruban p^dieux qui la compose. En nieme temps s'attcnuo le sillon qui separe les deux rub
. Annales de la Société entomologique de France. Insects; Entomology. 578 1'. Lesxe. deux ransvcs de gros points enfoncés ; déclivité apicaie moins forte- ment ponctuée que la région postéro-dorsale et munie d'un rebord inférieur lisse; bord inféro-apical montrant, de chaque côté, 3 ou 4 tubercules dont l'ex- terne est le plus large. Apex des élytres vu de dessus présentant une encoche à la suture. Tarses postérieurs un peu plus longs que les tibias correspondants. La présence d'un tubercule obtus sous la corne prothoracique ne s'observe guère que chez ce c? et chez celui de l'espèce suivante. Stock Photo
RMRN0RMN–. Annales de la Société entomologique de France. Insects; Entomology. 578 1'. Lesxe. deux ransvcs de gros points enfoncés ; déclivité apicaie moins forte- ment ponctuée que la région postéro-dorsale et munie d'un rebord inférieur lisse; bord inféro-apical montrant, de chaque côté, 3 ou 4 tubercules dont l'ex- terne est le plus large. Apex des élytres vu de dessus présentant une encoche à la suture. Tarses postérieurs un peu plus longs que les tibias correspondants. La présence d'un tubercule obtus sous la corne prothoracique ne s'observe guère que chez ce c? et chez celui de l'espèce suivante.
. Annales de la Société entomologique de France. Insects; Entomology. Tig. 5. — Torcel, d'après Grube. — a, vu par la face dorsale; «, vu par la face ventrale. 31 VWVVj-**»*'*. fusiforme, émoussée à ses deux extrémités, étirée postérieuremeut, un peu incurvée du côté du ventre, plate à la face ventrale, très bombée à la face dorsale. Sa longueur est presque de 20 mill. 5 ; sa largeur est de 7 mill. 4 au niveau des cinquième et sixième segments. La tête est petite et porte de chaque côté du front un petit moignon à sommet corné, qu'on peut considérer comme une antenne; elle porte également les Stock Photo
RMRN0W7N–. Annales de la Société entomologique de France. Insects; Entomology. Tig. 5. — Torcel, d'après Grube. — a, vu par la face dorsale; «, vu par la face ventrale. 31 VWVVj-**»*'*. fusiforme, émoussée à ses deux extrémités, étirée postérieuremeut, un peu incurvée du côté du ventre, plate à la face ventrale, très bombée à la face dorsale. Sa longueur est presque de 20 mill. 5 ; sa largeur est de 7 mill. 4 au niveau des cinquième et sixième segments. La tête est petite et porte de chaque côté du front un petit moignon à sommet corné, qu'on peut considérer comme une antenne; elle porte également les
. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. SÃAiNCE DU 23 JUILLET 721 Région dorsale. â Dans la partie supérieure de la région dorsale, la cavité n'existe plus, et on constate l'existence d'une masse gliomateuse occupant la base de la corne postérieure droite, qu'elle repousse en dehors et s'étendant jusqu'à la périphérie de la moelle entre le cordon de Burdach elle cordon de Coll. Cette masse a la forme d'un triangle allongé dont la base correspond à la moitié externe droite de la commissure postérieure. Dans cette région on constate éga Stock Photo
RMRED0XN–. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. SÃAiNCE DU 23 JUILLET 721 Région dorsale. â Dans la partie supérieure de la région dorsale, la cavité n'existe plus, et on constate l'existence d'une masse gliomateuse occupant la base de la corne postérieure droite, qu'elle repousse en dehors et s'étendant jusqu'à la périphérie de la moelle entre le cordon de Burdach elle cordon de Coll. Cette masse a la forme d'un triangle allongé dont la base correspond à la moitié externe droite de la commissure postérieure. Dans cette région on constate éga
. Bulletin de la Société entomologique de France. Entomology. Séance du 26 février 1896. 99 â La corne stigmatique est épaisse. â Il y a une petite papille tliora- ciqnt' munie d'une courte soie au-dessus de la naissance de Taile. Les anneaux abdominaux ont leur partie dorsale garnie de spinules raides dont les postérieures sont disposées en une rangée régulière. Je n'ai pas eu l'occasion d'observer la larve.. Fig. 1. â Asphondylia Trabuti. A et B, partie antérieure de la nymphe, profil et face; C, extrémité de l'antenne; dernier article de la patte; E, aile. Dasyneura Kiefiferi, Stock Photo
RMRGPN7K–. Bulletin de la Société entomologique de France. Entomology. Séance du 26 février 1896. 99 â La corne stigmatique est épaisse. â Il y a une petite papille tliora- ciqnt' munie d'une courte soie au-dessus de la naissance de Taile. Les anneaux abdominaux ont leur partie dorsale garnie de spinules raides dont les postérieures sont disposées en une rangée régulière. Je n'ai pas eu l'occasion d'observer la larve.. Fig. 1. â Asphondylia Trabuti. A et B, partie antérieure de la nymphe, profil et face; C, extrémité de l'antenne; dernier article de la patte; E, aile. Dasyneura Kiefiferi,
. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. 644 A. KOELLIKER par leur ressemblance aux fascicules correspondants de la figure 1 ne peu- vent être autre chose que des parties provenant des pyramides. La commis- sure dorsale (Cd) est mieux développée que dans la coupe figure 1. La corne antérieure est très bien délimitée et contient beaucoup de cellules marquées par des espaces clairs qui s'étendent jusque dans la région du canal central. A part de ces cellules, il y a encore un groupe latéral, duquel la XP paire, qui n'est pas visible dans l Stock Photo
RMRECK7B–. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. 644 A. KOELLIKER par leur ressemblance aux fascicules correspondants de la figure 1 ne peu- vent être autre chose que des parties provenant des pyramides. La commis- sure dorsale (Cd) est mieux développée que dans la coupe figure 1. La corne antérieure est très bien délimitée et contient beaucoup de cellules marquées par des espaces clairs qui s'étendent jusque dans la région du canal central. A part de ces cellules, il y a encore un groupe latéral, duquel la XP paire, qui n'est pas visible dans l
. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. haut; très accusée dans les régions lombaire et dorsale inférieure où elle se présente sous la forme d'un coin à base externe, elle s'atténue dans les régions dorsale supérieure et cervicale, d'une manière assez prononcée. La sclérose atteint le cordon de Gowers dans la région cervicale (fig. 1, 2, 3). Le faisceau pyramidal direct et le reste des faisceaux blancs sont intacts. La zone sclérosée des cordons latéraux n'atteint nulle part la corne posté- rieure dont elle reste séparée par une Stock Photo
RMRED1WP–. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. haut; très accusée dans les régions lombaire et dorsale inférieure où elle se présente sous la forme d'un coin à base externe, elle s'atténue dans les régions dorsale supérieure et cervicale, d'une manière assez prononcée. La sclérose atteint le cordon de Gowers dans la région cervicale (fig. 1, 2, 3). Le faisceau pyramidal direct et le reste des faisceaux blancs sont intacts. La zone sclérosée des cordons latéraux n'atteint nulle part la corne posté- rieure dont elle reste séparée par une
. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. 642 A. KOELLIKER stances de Rolando; 2° une trace très faible du noijau latéral 3° quelques fibres du nerf hypoglosse (XII) visibles surtout du côté gauche, où les pre- miers vestiges de l'olive inférieure sont aussi indiqués par une place plus claire entre les pyramides (P) et le nerf (XII). A l'aide d'un fort grossisse- ment, on aperçoit des cellules assez grandes dans la corne antérieure et spé- cialement aux côtés de la partie la plus dorsale des cordons antérieurs. Puis il y a un amas de Stock Photo
RMRECK83–. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. 642 A. KOELLIKER stances de Rolando; 2° une trace très faible du noijau latéral 3° quelques fibres du nerf hypoglosse (XII) visibles surtout du côté gauche, où les pre- miers vestiges de l'olive inférieure sont aussi indiqués par une place plus claire entre les pyramides (P) et le nerf (XII). A l'aide d'un fort grossisse- ment, on aperçoit des cellules assez grandes dans la corne antérieure et spé- cialement aux côtés de la partie la plus dorsale des cordons antérieurs. Puis il y a un amas de
. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. Fi'i. 'S. â Région dors 1? moye nie.. Région lombaire supérieure. dimensions, réapparaît au sein du tissu gliomateux qui présente la même topographie que dans la région dorsale supérieure, mais ici la substance géla- tineuse de Rolando du côté droit est inlacte. Cette cavité s'agrandit légère- ment au niveau de la région dorsale inférieure. Région lombaire supérieure (fig. 4J. ^- Ici la cavité est limitée à la substance grise de la corne postérieure et a détruit la base de cette corne. Stock Photo
RMRED0XK–. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. Fi'i. 'S. â Région dors 1? moye nie.. Région lombaire supérieure. dimensions, réapparaît au sein du tissu gliomateux qui présente la même topographie que dans la région dorsale supérieure, mais ici la substance géla- tineuse de Rolando du côté droit est inlacte. Cette cavité s'agrandit légère- ment au niveau de la région dorsale inférieure. Région lombaire supérieure (fig. 4J. ^- Ici la cavité est limitée à la substance grise de la corne postérieure et a détruit la base de cette corne.

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