Traité des maladies de l'enfance . Fig. 1.. diamètre nétait pas inférieur à 30 centimètres. Entre ces extrêmes, tousles intermédiaires. Laspect extérieur ne varie pas moins. La saillie est le plussouvent sessile et repose sur une base large, légèrement rétrécie par unsillon circulaire ilig. 2), mais, à mesure quelle augmente de volume, se SPINA BIF1DA. 571

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RM2AWP8J4–Traité des maladies de l'enfance . Fig. Éléphantiasis du membre supérieur droit..

RM2AXHNCK–Traité des maladies de l'enfance . ;ll. DES MATIÈRES WMl. Chorée (Cn. Lbmhjx) Étiologie Anatomie pathologique Pathogéoie «-t physiologie pathologique 805 Symptômes 811 gnostic Pronostic .828 Traitement WMII. Maladie de Bergeron [Ckon?,? éleclriq 854 Définition Historique 834 ! ijtloll Étiologie. Pathogénie Diagnostic ^s Pronostic. • 840 Traitement 840 l. Paralysie faciale Biii) 841 Étiologie 841 Formes cliniques vi ns anatomiques D ignostic Pronostic .... 847 Traitement . Paralysie douloureuse des jeunes enfants Bézi 849 Étiologie. Pathogénie Diagnostic Pronostic 855 Traitement 853 XXXI

RM2AXJ1RC–Traité des maladies de l'enfance . des complications. COMPLICATIONS Généralement la pneumonie franche évolue chez les enfants sans compli-cation, et la guérison est prompte et complète. Dans quelques cas cependant,il y a des complications qui viennent retarder, entraver ou compromettre laguérison. Nous allons étudier ces complications appareil par appareil. Appareil respiratoire. — Du côté de lappareil respiratoire on a noté labronchite qui parfois précède la pneumonie, laccompagne et lui survit.Tantôt cette complication bronchitique est modérée, tout se borne à quelquesrâles sonores disséminé

RM2AWP9MD–Traité des maladies de l'enfance . sent avec peine; ce nest pluslérysipèle, cest le lymphangiome diffus et chronique. SYMPTOMES Laissant de côté les tuméfactions éléphantiasiques qui succèdent auxlésions cutanées, à lérysipèle à répétition, à lœdème, aux angiomes vul-gaires, nous étudierons spécialement, au point de vue clinique, léléphantiasiscongénital, dont les observations se sont multipliées depuis quelquesannées. Pour rendre la description plus intéressante, plus frappante, nousrapporterons les faits les plus topiques avec quelques dessins destinés à lesgraver dans lesprit du lecteur. Vo

RM2AXHTX1–Traité des maladies de l'enfance . mptômes et marche. — La pleurésie purulente infantile à strepto-coques dans trois de nos observations a évolué avec une rapidité quenous ne constatons qu exceptionnellement dans les pleurésies purulentesdues au pneumocoque. Elle correspondait a la forme décrite par Fraentzel sous le nom depleurésie suraiguë, pleuritis acutissima, dans laquelle tous les symptômesacquièrent de bonne heure une gravité insolite — aussi bien labondance dePépanchement que les troubles fonctionnels : dyspnée et cyanose et enfinles phénomènes généraux, (lèvre intense avec état typhoï

RM2AXJ0HM–Traité des maladies de l'enfance . 284 APPAREIL RESPIRATOIRE. Streptocoque + aureus Streptocoque + bacille de Koch Aureus pur Aureus -f bacille de Koch. ? Bacille de Koch pur 1 Bacterium coli 2 Pas de microbe par la culture 1 Pleurésies putrides 6 Soit pour le pneumocoque 65,4, et 56,8 pour 100 pour le pneumo-coque à létat isolé. Pour le streptocoque, 16 dont 13 à létat de pureté. Surles 81 pleurésies, 5 ou 6 étaient tuberculeuses, soit 7,4. Cette seconde statis-.

RM2AXJ01G–Traité des maladies de l'enfance . reptocoques, 2 contenaient le staphylococcusaureus, 1 le bacille de Koch. En réunissant les observations de ces quatreauteurs, nous trouvons 50 pleurésies à pneumocoques sur 45, cest-à-direexactement notre chiffre 66,6 pour 100. Division des pleurésies purulentes. — Cette distinction des pleurésiesbasée sur leur nature bactériologique a été proposée par nous en 1888 et1889. Elle a été adoptée par le plus grand nombre des auteurs de tous pays. (*) Ekerle. Zur Behandlunp der Pleuraempyème mittelst Heberdrainage. Thèse de Berne, 1892.(*) Le même auteur rapporte

RM2AXHTHX–Traité des maladies de l'enfance . ayant indiqué un épanchement abondant, notre confrère ponctionneavec un gros trocart dans lespace intercostal situé au-dessous de celui oùavait été faite la première ponction. Cette fois il sécoule 700 grammesdun liquide séro-fibrineux absolument inodore et tout semblable à celuides pleurésies séro-fibrineuses ordinaires. Mais cette évacuation elle-mêmenamène pas grand soulagement. 11 constate les signes dun pneumothoraxayant remplacé la pleurésie et il envoie le malade à lhôpital. Cette histoire indique de la façon lapins claire la succession des accidents.[

RM2AXHT4N–Traité des maladies de l'enfance . poids dunhémisphère normal chez unenfant de même âge. La dimi-nution de volume de lhémi-sphère malade est due à laréduction de tous les diamè-tres, longitudinal, transversalet oblique. 11 en résulte une atrophie en niasse, une sorte de ratatinementgénéral de lhémisphère. La figure ci-jointe, communiquée par P. Marie,donne la représentation photographique de la lésion et montre bien le degréexcessif que peut atteindre latrophie. Dans quelques cas, la sclérose cérébrale est bilatérale; des portions plusou moins étendues de substance cérébrale sont frappées dans

RM2AWP8BC–Traité des maladies de l'enfance . Fig. i. — Éléphantiasis des extrémités inférieures. lespace interscapulaire ; on sentait des ganglions dans laisselle. Peau lisse,adhérente, sans changement de couleur, sans modification de la température.Lymphangite au niveau de la main. Le membre gauche était normal; cepen-dant il y avait, dans Faisselle de ce côté, une masse ganglionnaire analogueà celle du côté droit. ELEPHANTIASIS. 221 4° Une fillette de 14 mois, de parents sains ef blancs, a présenté dès sanaissance un volume énorme des pieds (fig. 4). Un médecin a voulu pra-tiquer une légère incision q

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